LA JOURNEE: Consacrée à la visite de cette superbe ville qu’est Séville (700 000 habitants). Toujours les grosses températures, nous essayons de marcher à l’ombre … Déambuler dans les petites rues, placettes et patios est un vrai régal.

Jardins de Murillo, les Arènes, la Tour de l'Or

Jardins de Murillo, les Arènes, la Tour de l’Or

A) Les Jardins de Murillo avec ses arbres de Judee, ses différents palmiers et bougainvilliers. Un monument y rappelle le départ de Christophe Colomb avec une caravelle et gravée sur celle-ci le nom d’Isabelle la Catholique ayant financé le voyage qui permis à celui-ci  de découvrir l’Amérique.

B) Les Arènes de la Maestranza (12 500 places) ont été construites au 18ème siècle. Séville est un des haut-lieu de la tauromachie. A l’intérieur des Arènes existent une chapelle et une petite salle d’opération (on ne sait jamais ce qui pourrait arriver aux taureaux …)

C) La Tour de l’Or (tour d’observation militaire date du 13e siècle durant la domination Almohade.

La Giralda, la Cathedrale et le Pont de Triana

La Cathédrale et sa Giralda. Le Pont de Triana

D) De style gothique, construite entre 1402 et le 16e siècle, la Cathédrale possède le clocher la Giralda (104 mètres de haut). La Giralda, est l’ancien minaret Hispano-Mauresque de la Mosquée Almohade qui s’élevait sur l’emplacement de la cathédrale actuelle. C’est une des plus grandes cathédrales du monde et bien sur, la plus grande d’Espagne (132 m X 83 m). Elle possède une trentaine de chapelles latérales.

E) Le Pont de Triana qui relie les deux rives du Guadalquivir était à l’origine un pont flottant construit en 1171, Séville au nord et Triana au sud. Triana a été longtemps le quartier gitan de Séville. Ils en furent expulsés dans les années 1970 à cause du développement immobilier. De très belles façades longent maintenant la rive de Triana.

Place d'Espagne

Place d’Espagne

F) La Place d’Espagne construite pour l’Exposition Ibero-Americaine de 1929 a la forme d’une demie arène gigantesque en proportions et en beauté.

Difficile de quitter l’Andalousie sans une soirée flamenco. Noyés au milieu d’un bataillon de sujets de sa Majesté Hiroito (certainement shootés à la paella); le spectacle étant excellent nous joignons nos applaudissements aux leurs.